intimité
Manyoly a présenté pour la première fois un projet sans portrait.
Un projet plus personnel et en avant première son premier livre édité.
exposition interdite aux -18ans
Un souvenir évoqué. Mémoire de la peau, mémoire du regard.
Un plongeon dans l’intime, la délicatesse des corps et la douceur des
draps. Un dialogue entre un photographe et deux artistes plasticiens.
L’érotisme pour fil rouge, suggéré parfois, visuel toujours.
Galerie d’art Sylvie Adaoust
60 rue Edmond Rostand
13006 Marseille
Décembre 2017
Pour entrer un peu plus dans le détail ;
Manyoly raconte des nuits sur ces tableaux, et quel meilleur moyen que d’utiliser ses draps pour compter ses histoires.
Nuit d’ivresses, de tendresses, de fantasmes et d’évasions..
Elle fige le drapé dans une résine particulière, retravaille longuement les volumes pour former à travers les plis et aplats un mouvement qui raconte son vécu.
Des couleurs choisies, parfois en monochrome, mais avec technique.
Manyoly réalise elle même ses couleurs à l’huile à partir de mélange de pigments et d’huile pure, aucun autre ingrédient à par la patience.
Jeux de matières et de lumière entre ces draps.
C’est en poésie qu’elle développe un peu plus l’idée de chaque tableau, pour poser juste là, si le spectateur le veut, un fil rouge entre son idée et visuellement son tableau.
Une exposition mêlant les photographies érotiques de Alex Macquart, les sculptures en inox de Jean-Christophe Thorez et les tableaux et poèmes de Manyoly